Par Hassane Magued - Titre: abidjan_pas_net
Nationalité douteuse. Ascendance douteuse. Incertitude sur la mère. C’était en 2000 lorsqu’il est entré en contact avec la Cour Suprême de Côte d’Ivoire.
Avant cette date, un mandat d’arrêt international était en cours d’être émis contre lui par Konan Bédié qui, le connaissant pour avoir été son tuteur aux Etats-Unis, avait dénoncé ce faussaire à la Justice ivoirienne lorsque contre toute attente, Ouattara se fit délivrer un Certificat de Nationalité ivoirienne par Zoro Bi Ballo, un juge de la section de Tribunal de Dimbokro alors que ce dernier n’avait aucun ascendant Ivoirien et qu’il n’avait non plus été naturalisé. Doute, des doutes, tout est douteux chez cet homme quand il s’agit de faire la lumière sur des faits ou actes devant la Justice.
Eligibilité douteuse. Candidat exceptionnel donc candidat anormal aux élections ivoiriennes. Résultats électoraux douteux. Trois fois plus de votants que d’inscrits. Population électorale douteuse. Plus de 80 pour cent des habitants de la zone occupée par la rébellion étaient en âge de voter. Comportements douteux quand il s’est agit de demander à la Justice de faire la lumière sur ces vrais faux résultats. En pleine posture douteuse, il eut comme d’ordinaire recours aux armes pour échapper à la lumière de la Justice. Doute, des doutes, tout est douteux chez cet homme quand il s’agit de faire la lumière sur des faits devant la Justice.
Auto investiture douteuse. Investiture par Yao N’DRE, douteuse. Légalité de tous les actes pris à l’Hôtel du Golf, douteuse. Il fallut un acte signé a posteriori par Yao N’DRE alors Président en voie d’être démis du Conseil Constitutionnel pour valider rétroactivement lesdits actes. Or, les Juristes eux-mêmes disent que le droit dispose pour l’avenir. Bref. Tout est doute chez cet individu quand il s’agit de s’expliquer devant la Justice.
Moralité douteuse. Voyages de mendicité douteux. Rapports avec la France, douteux. Rapports avec Louis Moreno Ocampo, très douteux. Accusations douteuses contre Laurent GBAGBO. Doutes légitimes et confirmés sur son intention de détruire la Côte d’Ivoire en évoluant en marge de la Justice. Bref. Doute, des doutes, tout est douteux chez cet homme quand il s’agit de faire la lumière sur des faits devant la Justice.
Alors voilà ! Laurent GBAGBO est allé l’attendre à la Haye pour que cette fois-ci, Ouattara passe au scanner de la Justice. Mais il n’ira nulle part. Il fuira, provoquera une guerre génocidaire s’il le faut parce qu’il ne peut pas être à l’épreuve de la Vérité, du Droit et de la Justice. Car tout est faux en lui et le Droit, la Justice, il en a une peur bleue, une vraie phobie.
Mentalité douteuse, paroles douteuses, regard douteux, santé douteuse, diplôme d’économiste douteux, lieux de naissance douteux, vie professionnelle douteuse, passé douteux, présent douteux et l’avenir plus que douteux.
Qui est cet homme chez qui tout est doute même son ombre ? Qui est cet homme-là qui prétend lutter pour faire triompher une cause prétendue juste alors qu’il a une phobie légendaire de la Justice et du Droit, si ce n’est qu’un faussaire né sous une fausse étoile pour mener une vie chargée de faux !
Mensonge contre Vérité, faux témoignage contre Parole d’honneur, le judiciairement douteux a vraiment [« mangé son totem » selon Abou Cissé] quand il a eu l’ingénieuse idée d’envoyer Laurent GBAGBO à la CPI.
Ayant une phobie de la Justice, il a vu en ce transfèrement un châtiment contre Laurent GBAGBO. Diantre ! Comment peut-on vouloir punir un homme qu’on accuse à tort en lui donnant la chance de s’expliquer devant toutes les Nations du monde !
Franchement, il faut être un hors-la-loi, un objecteur de loi, un objecteur de la Justice pour faire et être ce que Ouattara est !
A Très bientôt.
Nationalité douteuse. Ascendance douteuse. Incertitude sur la mère. C’était en 2000 lorsqu’il est entré en contact avec la Cour Suprême de Côte d’Ivoire.
Avant cette date, un mandat d’arrêt international était en cours d’être émis contre lui par Konan Bédié qui, le connaissant pour avoir été son tuteur aux Etats-Unis, avait dénoncé ce faussaire à la Justice ivoirienne lorsque contre toute attente, Ouattara se fit délivrer un Certificat de Nationalité ivoirienne par Zoro Bi Ballo, un juge de la section de Tribunal de Dimbokro alors que ce dernier n’avait aucun ascendant Ivoirien et qu’il n’avait non plus été naturalisé. Doute, des doutes, tout est douteux chez cet homme quand il s’agit de faire la lumière sur des faits ou actes devant la Justice.
Eligibilité douteuse. Candidat exceptionnel donc candidat anormal aux élections ivoiriennes. Résultats électoraux douteux. Trois fois plus de votants que d’inscrits. Population électorale douteuse. Plus de 80 pour cent des habitants de la zone occupée par la rébellion étaient en âge de voter. Comportements douteux quand il s’est agit de demander à la Justice de faire la lumière sur ces vrais faux résultats. En pleine posture douteuse, il eut comme d’ordinaire recours aux armes pour échapper à la lumière de la Justice. Doute, des doutes, tout est douteux chez cet homme quand il s’agit de faire la lumière sur des faits devant la Justice.
Auto investiture douteuse. Investiture par Yao N’DRE, douteuse. Légalité de tous les actes pris à l’Hôtel du Golf, douteuse. Il fallut un acte signé a posteriori par Yao N’DRE alors Président en voie d’être démis du Conseil Constitutionnel pour valider rétroactivement lesdits actes. Or, les Juristes eux-mêmes disent que le droit dispose pour l’avenir. Bref. Tout est doute chez cet individu quand il s’agit de s’expliquer devant la Justice.
Moralité douteuse. Voyages de mendicité douteux. Rapports avec la France, douteux. Rapports avec Louis Moreno Ocampo, très douteux. Accusations douteuses contre Laurent GBAGBO. Doutes légitimes et confirmés sur son intention de détruire la Côte d’Ivoire en évoluant en marge de la Justice. Bref. Doute, des doutes, tout est douteux chez cet homme quand il s’agit de faire la lumière sur des faits devant la Justice.
Alors voilà ! Laurent GBAGBO est allé l’attendre à la Haye pour que cette fois-ci, Ouattara passe au scanner de la Justice. Mais il n’ira nulle part. Il fuira, provoquera une guerre génocidaire s’il le faut parce qu’il ne peut pas être à l’épreuve de la Vérité, du Droit et de la Justice. Car tout est faux en lui et le Droit, la Justice, il en a une peur bleue, une vraie phobie.
Mentalité douteuse, paroles douteuses, regard douteux, santé douteuse, diplôme d’économiste douteux, lieux de naissance douteux, vie professionnelle douteuse, passé douteux, présent douteux et l’avenir plus que douteux.
Qui est cet homme chez qui tout est doute même son ombre ? Qui est cet homme-là qui prétend lutter pour faire triompher une cause prétendue juste alors qu’il a une phobie légendaire de la Justice et du Droit, si ce n’est qu’un faussaire né sous une fausse étoile pour mener une vie chargée de faux !
Mensonge contre Vérité, faux témoignage contre Parole d’honneur, le judiciairement douteux a vraiment [« mangé son totem » selon Abou Cissé] quand il a eu l’ingénieuse idée d’envoyer Laurent GBAGBO à la CPI.
Ayant une phobie de la Justice, il a vu en ce transfèrement un châtiment contre Laurent GBAGBO. Diantre ! Comment peut-on vouloir punir un homme qu’on accuse à tort en lui donnant la chance de s’expliquer devant toutes les Nations du monde !
Franchement, il faut être un hors-la-loi, un objecteur de loi, un objecteur de la Justice pour faire et être ce que Ouattara est !
A Très bientôt.
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